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Catalogue

9 3 blondes light

Jean-Luc Despax

9.3 blondes light

« Je ne fume plus… Mais je n’ai jamais enfumé. »

Ainsi parle, allumant ses contre-feux, la poésie de Jean-Luc Despax. Poésie déguisée en femme, elle-même déguisée en blonde light. Car l’érotisme rejoint toujours le politique chez lui. En ces temps de racisme, de pétainisme, de sexisme, d’homophobie, de règne du fric pour une poignée de quelques-uns et d’un fascisme numérique et orwellien contre l’immense majorité de tous les autres, de retour du refoulé et d’expulsion des Justes, ces Blondes light balancent du lourd dans le brasero du sens. Il n’est plus temps de s’interroger en universitaires sur les prestiges ou en snobinards sur la vanité des textes engagés. Il est temps d’engager fraternellement la poésie auprès du peuple qui souffre.

Ceux qui fument encore le savent : on ne peut le faire que dans la rue. Cela tombe bien, c’est comme la Révolution. À l’échelle de l’Europe. À l’échelle du monde. Car l’Univers ne tient pas dans un selfie. On ne joue plus là, on lutte. Avec des jeux de mots peut-être.

« Plus on contrôle le faciès
Moins on verrouille le fascisme.
On a retrouvé un poème de Mallarmé :
Marine, tu nous les brises. »

Découvrez ses autres recueils poétiques parus au Temps des Cerises : 220 slams sur la voie de gauche & Des raisons de chanter.

Prix

12 €

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Caractéristiques

  • Pages : 150
  • Langue : Français
  • ISBN : 978-2-37071-0
  • Dimensions : 120 x 170
  • Date de sortie : 12/06/2015

à propos de l'auteur

Author

Jean-Luc Despax est l'auteur de deux recueils de poèmes : Grains de beauté, Equations à une inconnue, d'un essai biographique sur Ossip Mandelstam et d'un roman : Prof is beautiful. Visitez le blog de Jean-Luc Despax : Les Douze de blog.

Revue de Presse

Lire la critique de France Burghelle Rey dans la revue La Cause Littéraire

9.3 blondes light : recueil, par définition, d’une poésie engagée. Pour défendre le peuple, il faut défiler la cigarette à la bouche, écrire, à l’aide d’une blonde, texte après texte, une diatribe inspirée. A chaque bouffée correspond alors une inspiration et une expiration pour 93 textes et un excipit sans tabac qui crache son venin contre ce siècle et celui qui le précède.

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Lire la critique de Lucien Wasselin dans la revue Texture.

Tout est de la même eau dans ce livre : Despax tourne en dérision bien des tics de notre société (mais la dérision est parfois amère) ; il dénonce, et pour ce, il emprunte aux langages à la mode […] Les questions et les remarques fusent, on n’en finit pas de les mettre en abyme… Et ce n’est pas le moindre mérite de cet ouvrage.

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Note de lecture de Denis Heudré dans Recours au poème.

Dans son dernier livre, Despax allume, il allume les visages de leur feu intérieur, allume les regards sur le monde actuel et ses zones d’ombres parfois érogènes. Ici on ne chipote ni ne vapote avec un ersatz de pensées light.

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Article de Michel Ménaché sur le site du Cahier critique de poésie, 25 septembre 2015 :

On ressort de ce recueil ragaillardi. Si « les éternels mensonges ont farci les dindons », le lecteur aura reconnu les vertus farcesques des fusées d’un dandy poète au rire ravageur !

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Critique de 9.3 blondes light sur le blog de France Burghelle Rey, Terre à ciel, août 2015.

Petite bible pour les écœurés du système mais branchés-malgré-tout, ce recueil, pour beaucoup, se refermera à regret.

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Lecture de Jean-Luc Despax lors du 19e festival international de poésie à la Maison de la poésie Rhône-Alpes.

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