Je sens qu’on me balance un coup de latte dans les reins ou Tout ce qui reste
Jack Hirschman, un des plus grands poètes américains vivants, icône d’une génération de révoltés et légende de la dissidence à San Francisco, a franchi depuis 15 ans les limites du domaine de ses fans californiens. Tout ce qui reste, est le bilan d’une vie, testament provisoire de ce poète résistant, qui mêle mystique, lyrisme, politique, érotisme, introspection, dans le prolongement des célèbres Arcanes.
Co-édition avec la Maison de la Poésie Rhône-Alpes
La presse en parle:
[…] Le choix de poèmes rend compte de cette poésie appelant à la révolution permanente et qui, dans tous les combats, choisit son camp, le plus souvent contre son propre pays […]La poésie d’Hirschman parie pour le pouvoir des mots, pour cette semence de dissidence que chaque poète indigné ou révolté porte en soi, parfois jusqu’à l’imprécation martelée que le plus grand nombre refuse d’entendre… […]Les chemins du poème entrecroisent constamment ceux de l’intime à ceux de la violence du monde. La poésie d’Hirschman cultive l’éruption lyrique jusqu’à l’éructation grossière et provocatrice. Nulle imagerie ornementale dans ce fracas des mots du refus du monde comme il va. Boxeur ou flingueur à voix nue, le poète tente de retourner son désespoir présent en espérance future, son écriture prophétique en dynamite hurlante…
Michel Ménaché, Revue Europe, septembre 2011.
Prix
20 €
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Caractéristiques
- Pages : 138
- Langue : Français
- ISBN : 9782841098910
- Dimensions : 140 x 290
- Date de sortie : 12/05/2011